Claire Brugeron Fasciathérapeute
Je vous reçois 2 square La Fayette à Angers, près de la gare, sur rendez-vous.
1er étage, Aile B à droite en sortant de l’ascenseur, Porte 25
Contact : 06 40 27 78 48
Des fascias sains et en bonne santé sont souples, élastiques et leur tension est bien répartie dans tout le corps.
En cas de stress, de syndrome douloureux, de chutes, de chocs émotionnels et affectifs, de maladies, d’opérations,…, les fascias se crispent et se tendent excessivement, souvent de manière asymétrique, entraînant de nombreux symptômes, notamment des douleurs et des troubles fonctionnels qui peuvent devenir chroniques.
Mon travail en cabinet consiste à aider les fascias à retrouver leur physiologie de base : détendre, assouplir, réaxer, décoquiller les énergies et les émotions. A permettre également au patient de se réapproprier son corps, de trouver un mode de fonctionnement moins délétère, d’installer un nouveau rapport à soi plus respectueux du corps, de ses besoins et de sa psychologie.
Mon expertise
Mes formations, mon expérience et mes recherches sont les 3 piliers sur lesquels s’appuie ma pratique professionnelle pour offrir à tout un chacun un accompagnement pertinent et personnalisé.
La santé est un état complet de bien-être physique, mental et social et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité.
OMS 1946
Fasciathérapie
Véritable toile d’araignée tridimensionnelle, les fascias sont présents de la superficie à la profondeur et de la tête aux pieds.
Omniprésent dans la peau, les muscles, les nerfs, les articulations, les vaisseaux sanguins et lymphatiques et tous les organes, le fascia relie et unifie notre structure corporelle.
En tant qu’organe sensoriel à part entière, il est très sensible au stress, aux chocs physiques et émotionnels ainsi qu’aux traumas psychologiques.
En lien avec le système neurovégétatif, il intervient dans la régulation du tonus musculaire et de tous les grands systèmes (endocrinien, nerveux, cardio-vasculaire, lymphatique, reproductif,…). Il est donc concerné dans nombre de pathologies.
Les recherches actuelles montrent aussi son importance dans les processus douloureux et inflammatoires.
Des fascias en bonne santé sont souples et élastiques, participant ainsi à la capacité de résistance et d’adaptation du corps.
VIDEOS SUR LES FASCIAS
Fascia-posturologie©
Née de mon expérience auprès de sportifs de haut-niveau que j’ai accompagnés lors de blessures et/ou à la suite d’opérations dans leur processus de récupération et de ré-athlétisation, la fascia-posturologie © (ré)actualise le schéma corporel après un choc physique ou émotionnel.
Quelques exemples : réinvestir un appui après une fracture à la fin de la rééducation quand la douleur ou la peur persiste, retrouver de la micro-mobilité dans une cyphose dorsale, situer son point neutre postural pour mieux s’équilibrer.
Camper sur ses positions, partir en vrille, se sentir instable, avoir des difficultés à se centrer ; autant d’expressions qui disent un ressenti du corps et/ou un vécu psycho-émotionnel qui se manifestent dans des déséquilibres posturaux et corporels qui sont parfois manifestes, parfois imperceptibles.
Rééquilibrer la posture et resynchroniser le schéma corporel en lien avec le ressenti et la compréhension du patient soulage les maux et engage un processus d’évolution.
L’accompagnement
Il permet d’aborder le corps, la douleur, la maladie, la santé, le mouvement, chaque problématique de vie dans toutes ses dimensions, physique bien sûr mais aussi cognitive et émotionnelle. Il offre des outils aux personnes pour construire un meilleur rapport à soi, à ses choix, à sa vie, et mieux mobiliser leurs ressources propres afin d’engager des changements.
Cet accompagnement concerne également le déploiement des compétences de tout un chacun : engagement, bienveillance, estime de soi, confiance en ses ressources propres, capacité à les mobiliser…
Les émotions
De la naissance au plus grand âge, nous traversons des épreuves et passons des caps qui nous impactent et laissent des traces, source de mal-être ou de dysfonctionnements.
Une émotion mal vécue et/ou mal exprimée, même positive, s’enkyste dans le corps et a des effets délétères.
Le fascia axial profond ainsi que les fascias intracrâniens sont très sensibles aux émotions et se crispent bien souvent dans la profondeur du corps.
Lorsque notre monde émotionnel vacille, il a parfois besoin de soutien.
Féminin / masculin
Endométriose, syndrome prémenstruel, vaginisme, dysménorrhée, hypofertilité, incontinence, baisse de la libido sont quelques pathologies ou syndromes qu’une femme pourra rencontrer tout au long de sa vie.
Les hommes ne sont pas épargnés par certaines de ces pathologies qui gênent la vie sociale et intime et peuvent parfois engendrer de la souffrance psychique.
Lorsque le corps s’adapte pour accueillir le futur bébé, il a parfois besoin d’être soutenu pour accompagner les modifications posturale, liquidienne et vasculaire ainsi que la dynamique spatiale pour que le bébé prenne toute sa place.
Pour tous
De la régurgitation du nouveau-né à la cyphose de qui se développe à mesure que l’âge avance, en passant par les douleurs de croissance des jeunes, ma pratique s’adresse à tous.
Elle est complémentaire avec les autres approches : allopathie, psychologie, acupuncture, kinésithérapie, ostéopathie…
Je m’adapte en fonction des handicaps, des spécificités et potentialités de chacun. Pendant la séance et selon les cas, j’utilise comme médium le corps, le mouvement (assis ou debout), la parole, des techniques de relaxation pour optimiser le travail sur les fascias…
Le stress
Le stress fait partie de nos vies et le corps est prévu pour y faire face.
Mais quand un évènement ou une situation génère un stress trop intense ou que l’on est soumis à un état de stress sur des durées trop longues, les processus d’adaptation du corps sont dépassés et génèrent des effets délétères tant au niveau physique que psychologique.
Il devient nécessaire de diminuer les tensions, d’alléger la pression psychologique et de libérer l’émotionnel.
Il faut également apprendre à mettre des outils en place pour y faire face.
Les écrans
Ils sont omniprésents dans nos vies tant au niveau professionnel que privé et concernent tous les âges.
Générant tensions musculaires et nerveuses, fatigue visuelle et attentionnelle, troubles musculo-squelettiques et vasculaires ainsi qu’une surcharge mentale, les écrans mettent à mal notre santé à bas bruit.
Délier ce qui se noue et relancer ce qui stagne dans l’immobilité de la posture libère le crâne et permet d’enlever la chape de plomb sur les épaules et la sensation d’être « rouillé » quand on se lève…
Douleurs chroniques
Lorsque l’on est confronté tous les jours ou très régulièrement à la douleur, lorsque le stress ou la maladie et les symptômes associés laminent la qualité de vie et engendrent de la souffrance psychique, on aspire à ce que tout s’arrête d’un coup, facilement, grâce à un traitement médicamenteux ou une nouvelle thérapeutique.
Pourtant, de même que la douleur s’est tricotée à bas bruit pendant un certain temps avant d’émerger et de se chroniciser, il faudra également du temps pour stabiliser puis tenter d’inverser ce processus dans le corps. Cela nécessite dans la plupart des cas un travail d’acceptation de la réalité de son état, de déconstruction de l’envie que tout redevienne « comme avant » et de la sensation d’être une victime impuissante en intégrant une nouvelle vision et en devenant proactif.
Méditation sensorielle ©
Née de la conviction qu’il est nécessaire de s’octroyer des moments de pause pour se ressourcer dans nos vies tumultueuses, j’ai créé cette méthode de méditation afin de renouer avec les perceptions du corps telles que vous pouvez les ressentir lors des séances de fasciathérapie.
26 séances construites de manière évolutive pour se centrer, (re)éprouver le plaisir d’être pleinement en soi dans son corps, ouvrir l’espace des pensées et du coeur et retrouver son point neutre. LIEN à VENIR
Maux du corps, traitement & bilan
Ecrans et maux de tête
Contexte : travail sur écrans, raideurs dans le dos surtout la nuque, se sent rouillée le soir + mal de tête en étau qui lui brouille les idées
Traitement : contexte fascial intra et extra crânien + osseux, axe cranio-sacré, travail tension des yeux, travail de respiration + petits exercices pour remobiliser la ceinture scapulaire et les mouvements de la tête + étirement général de la chaine postérieure
Bilan : gère la tension posturale dans sa journée de travail + rituel d’étirement tous les matins dans son lit + étirement sensoriel postérieur assez régulièrement pour éviter le retour des céphalées. Revient épisodiquement en traitement quand cela ne suffit plus
Quelle est votre demande principale ?
C’est la question que je pose lors de la première séance. Voici quelques exemples, mon accompagnement et le bilan.
"Il faut que je pleure", à l'épreuve du cancer
Contexte pathologique : cancer ovaire droit suivi de récidives avec carcinomatose péritonéale
Demande spécifique : Le ventre : grande souffrance, du mal à accepter les opérations => « je me sens amputée, incomplète »
« Il faut que je pleure et j’ai besoin d’être accompagnée ici pour lâcher »
Traitement : travail crânien et thoracique, accompagnement verbal des pleurs // dit sa peur de mourir, évoque sa mère absente/ maltraitante, dit sa vie maltraitée, la boule au ventre synonyme de violence, de fuite pour sauver sa peau
Bilan : elle se sent centrée, est heureuse d’avoir pu pleurer et libérer la boule d’angoisse et de peurs. Sensation de son ventre qui s’est ouvert : a senti un voile noir sortir du ventre et s’envoler. Accueille la petite fille maltraitée (douceur, regard bienveillant…) dit devoir prendre de la distance par rapport à des relations familiales toxiques notamment par rapport à sa mère froide, non considérante : « je n’étais rien »
Cette épreuve, dit-elle, lui permet d’avoir une vie meilleure par rapport à son passé : « de 0 à 10 ans c’était compliqué, de 10 à 20, horrible; de 20 à 30, abominable ; de 30 à 40 c’est le cancer »
"Je ne peux plus randonner", douleurs
Contexte pathologique : maladie de Lyme & ténosynovite sur le dessus des pieds depuis 2 ans
Demande spécifique : soulager les douleurs sur le dessus des pieds (compression par le frottement, courant électrique le long de l’arche interne…) surtout le droit, ne peut plus randonner
Traitement : vasculaire, articulaire & fascia-posturologie©
Bilan : sent pour la première fois que le poids de son corps debout repose sur tout le pied et non sur les seuls talons et têtes de métatarses (« mais on ne me l’avait jamais dit ! »), se sent beaucoup plus équilibré, plus solide et ancré sur ses appuis, flotte dans ses chaussures = dégonflement très net des pieds
Après plusieurs séances : ravi de pouvoir marcher normalement avec ses amis, mot amical depuis La Réunion où il a repris la randonnée.
Hypoxie foetale
Contexte : femme enceinte de jumeaux de 7 mois que j’avais traitée épisodiquement, hospitalisation à venir pour une césarienne car constat de souffrance foetale/anoxie
Demande spécifique : un dernier traitement avant son hospitalisation, sent une partie de son ventre lumineux et l’autre sombre
Traitement : contexte fascial et osseux de l’abdomen, du dos et du bassin, harmonisation vasculaire et spécifique de l’abdomen et du petit bassin, répartition des tensions et pressions & mouvement sensoriel du placenta
Bilan : doppler de contrôle positif à son arrivée à l’hôpital => la patiente demande un suivi en fasciathérapie qui sera accepté. Un doppler effectué après chaque séance de traitement montrera la normalisation. Poursuite de la grossesse jusqu’au terme.
"Faire quelque chose avant l'opération"
Contexte : enfant 7 ans, 2 kystes logés dans la glande et le canal salivaires, douleurs langue et gorge, gonflement
Demande spécifique : faire quelque chose pour éviter une opération risquée (nerf sensitif de la langue)
Traitement : contexte fascial cou et sous-maxillaire, travail sur la glande salivaire, mastoïde, tenue d’une fiche d’observation
Récidive 5 ans plus tard : après une première séance il expulsera un petit caillou qu’il sentira avec la langue
Douleurs du corps :
Règles douloureuses
Contexte : depuis quelques cycles ressent douleurs lombaires, lourdeur bassin, jambes coupées, est hyperémotive, envie de pleurer et de rester couchée, parfois accompagnées de sueurs + envie de vomir
Demande spécifique : revenir à la normalité
Traitement : explications du contexte anatomique; travail fascias % plans de glissement petit bassin+ abdomen + région lombaire, travail sur la vrille des organes, travail thorax, sternum+ respiration dirigée pour être moins tonique, travail sur le hiatus intérieur/extérieur
Bilan : a réinvesti le petit bassin, plus de douleurs, se sent moins stressée
Talonnade
Contexte : jeune de 17 ans en sport étude. Arrêt du sport depuis 1 an en raison de douleurs à la cheville après réception d’un ballon sur l’intérieur du pied. Fracture antérieure du calcanéum.
Demande spécifique : reprise du sport
Traitement : bilan en fascia-posturologie© ok, travail des fascias pied/cheville/ mollet, travail osseux calcanéum + tarse + métas, dynamique articulaire du pied + arche externe et dyna externe mollet + fascia poplité
Bilan : « ça va mieux », a pu retrottiner, envisage la reprise du sport
Mal de ventre
Contexte : douleurs récurrentes, alternance de diarrhées et de constipation, parfois sensation de malaise généralisé
Demande spécifique : aller mieux car « j’en viens à redouter de manger alors que j’adore ça «
Traitement : du ventre ballonné fascias intra-abdominaux, des lombaires tendus, du SNV/système neurovégétatif impliqué dans la régulation de la digestion, hypothèse d’une inflammation du côlon qui pourrait être améliorée avec une adaptation de l’alimentation cf naturopathe ou à rechercher soi-même
Bilan : beaucoup mieux, mange plus de fibres + prise de psyllium + fait la liste des aliments qui ne lui réussissent pas et les évite
Prothèse du genou
Contexte : chute 1 an après une pose de prothèse de genou : triple fracture du fémur, pose définitive de plaque. Douleurs, difficulté à marcher au-delà de quelques centaines de mètres, sent son genou chaud, boitille
Demande spécifique : mieux marcher
Traitement : tous les fascias de la jambe, genou, rotule, forte résonance sur le genou quand je travaille sur le pied au niveau des 3ème et 4ème métatarses, dynamique tensionnelle musculaire, TFL +++ tête du péroné, toucher vasculo-lymphatique pour l’inflammation
Bilan : plus de chaleur ni de douleur, marche ok, a profité de sa dernière croisière, veut rester dans cet équilibre satisfaisant
Quand le corps parle :
"Plein le dos"
Contexte : 40 ans, enchaînement depuis plusieurs années de torticolis, lumbagos, douleurs aux omoplates, sciatiques : « je ne m’en sors pas «
Demande spécifique : sortir de ce « cercle vicieux », « je suis jeune, qu’est-ce que ça va être plus tard ?! »
Traitement: faire prendre conscience et traiter ce qui est apparait comme sous-jacent aux douleurs : gros niveau de stress, peu de présence à son corps (flotte sur la table), mal dans sa peau et dans sa vie professionnelle, difficultés relationnelles +++ : timide-se sent souvent agressé, difficulté à exprimer ses émotions, schéma tensionnel +++, raideurs articulaires+++
Bilan : du mieux : quasiment plus de douleurs, fait du yoga, a suivi une formation en FC qui lui a permis d’évoluer au sein de son entreprise dans un rôle/statut plus en adéquation avec ses facilités où il peut s’épanouir
"Ca marche pas"
Voici l’illustration, à travers 2 exemples, d’une amélioration qui n’est pas prise en compte car le patient est centré sur « un résultat en « tout ou rien » et d’une difficulté à envisager une prise en charge multimodale.
Cas 1 : quand l’amélioration ne suffit pas
Contexte : médecin, migraines tous les jours, médicaments perdant de l’efficacité
Demande spécifique : trouver une autre thérapeutique
Premiers traitements : cou et cervicales, tensions intra et extra-crâniennes, contexte osseux, facial et vasculaire
Bilan : sous mes mains je note une évolution qui ne se répercute pas au niveau des migraines mais le patient se sent mieux
Traitements suivants : je continue mon travail en demandant au patients de remplir une fiche d’observation journalière : noter chaque migraine, horaire, contexte, durée, prise de médicaments, intensité.
Bilan au bout d’un mois ( 3 séances) : le patient dit ne pas aller mieux.
La lecture que nous faisons ensemble de la fiche d’observation lui permet de constater qu’effectivement il est passé d’une migraine par jour à 2 migraines par semaine, plus courtes, moins intenses avec moins de médicaments. « Peut-être, dit-il, mais moi je ne veux plus en avoir ! »
Pour pouvoir continuer à avancer, il est parfois nécessaire d’acter chaque évolution.
Cas 2, quand il est nécessaire de créer une synergie avec d’autres approches
Contexte : migraines intolérables, répétitives, invalidantes
Demande spécifique : les faire cesser
Premiers traitements : cou et cervicales, tensions intra et extra-crâniennes, contexte osseux, facial et vasculaire + traitement systémique d’un contexte de stress, de fortes tension générales dans tout le corps, d’une difficulté à faire baisser le tonus musculaire sur la table, la patiente ne sait pas se relâcher, est très cérébrale et investit peu son corps
Bilan : évolution sous mes mains mais rien ne bouge pour la patiente. Je propose la tenue d’une fiche d’observation.
Il en ressort que lorsque les migraines se déclenchent, cela se passe systématiquement après les repas midi et soir. Je partage avec la patiente l’hypothèse d’une modification de son alimentation (à voir avec un spécialiste) en parallèle pour essayer d’obtenir une actualisation dans sa vie de l’amélioration que je sens sous mes mains. La patiente est dubitative. Arrêt de l’accompagnement.
Déprime post-partum
Contexte : maman 32 ans suivie par un psychologue, douleurs sacrum et bas-ventre, plus de libido
Demande spécifique : aller mieux, peur que son état empire
Traitement : fascia-posturologie© pour équilibrer l’axe crânio-sacré, fascia + contexte osseux petit bassin, sacrum-coccyx, thorax+FAP pour diminuer stress et hyper-sensibilité, discussion autour de la « bonne mère »
Bilan : se sent « plus solide et moins débordée dans mon quotidien », diminution des douleurs et réinvestissement sensoriel de la sphère pelvienne, sent qu’elle peut trouver un équilibre dans sa vie de mère et de femme
Burn-out
Contexte : maman de 2 enfants en arrêt maladie pour burn-out
Demande spécifique : ambivalence entre la peur de la reprise du travail et le besoin de s’évader du contexte familialà plein temps vécu comme pénible
Traitement : plusieurs axes qui vont se révéler au fur et à mesure des séances (accompagnement par blocs de 3 )
1: travail sur les effets du stress dans le corps : tensions+++ , maux de ventre, céphalées
2 : prise de conscience que le poids le plus lourd est familial et non professionnel => changer son rapport à la famille => poser un cadre avec ses enfants et le maintenir, plus solliciter la participation de son mari décrit comme passif qui dit oui à tout => travail sur la solidité et l’endurance
3 : prendre du temps pour soi pour récupérer, se faire plaisir sans se considérer égoïste => travail sur mise en place d’un emploi du temps qui lui réserve des créneaux, incompressibles + travail sur l’engagement pour permettre la mise en acte du programme prévu
Bilan : mieux dans son corps et sa tête, engagement dans un processus qui a permis une reprise du travail où elle a su faire coexister temps professionnel, temps familial et temps personnel
Témoignages
« A la suite d’un grave accident de la cheville : fracture bimalléolaire, j’ai eu recours à des séances de fasciathérapie dès que mon pied a été déplâtré.
En effet, tout en bénéficiant de séances en balnéothérapie, la rééducation chez le kinésithérapeute me laissait la sensation d’avoir le pied comme « mort ».
Peu à peu, grâce à des séances régulières et à un travail en profondeur, j’ai retrouvé des sensations dans les extrémités du pied et le travail de Claire Brugeron m’a permis de sortir d’une sorte de gangue qui enserrait ma cheville.
Les séances de proprioception chez le kinésithérapeute ont d’ailleurs avancé plus vite et de façon spectaculaire d’après ce spécialiste.
Finalement, j’ai pu grâce à l’apport de la fasciathérapie récupérer toute ma mobilité: appui sur un barreau d’échelle, course, réception de saut, pratique du vélo, équitation de façon quasi normale. »
« En préambule, la fibromyalgie, c’est un corps souffrant, un état de fatigue plus ou moins présent et/ou prégnant. C’est aussi une non-reconnaissance et une errance médicale.
Quand la thérapeute me dit, lors du premier contact « vous avez un corps douloureux » c’est … presque trop douloureux ! J’en suis ébranlée. Et le dire ne suffit pas. Il me faut accepter l’aide et la rencontre avec la thérapeute. Il me faut me bouger et oser y aller.
Les premières séances sont un baume sur un corps qui a pris l’habitude de ne pas montrer ce qu’il ressent comme douleurs. Les mains se connectent avec les fascias et c’est une vraie découverte du corps, de son potentiel, de la puissance de l’intériorité travaillée aussi par la méditation sensorielle.
Au bout d’un temps, une certaine résistance se fait jour.
Il me faut alors, passer outre ce corps qui n’a pas envie d’être bousculé dans ses repères, ne veut pas être poussé dans ses retranchements. La douleur est parfois rassurante, au moins je sais qui je suis avec elle. Elle me définit. La perdre ou aller mieux demande de se découvrir autre, d’être quelqu’un que je ne connais pas vraiment, d’affronter l’inconnu.
C’est tout ce travail de petits pas, en avant et en arrière qui me font avancer. Le « mieux » étant expérimenté et vécu, il est possible d’aller le rechercher. Engranger l’acquis permet de rebondir. Le corps accepte alors de se déposer plus facilement, le travail en profondeur est accessible pour la thérapeute. Et dans mon quotidien, les réajustements, les adaptations sont facilitées. Accepter de se perdre pour renaître, vivre autrement et mieux m’est ouvert.
C’est un suivi de longue haleine pour ne pas abandonner, ne pas oublier le chemin parcouru et rester sur celui à écrire encore. Garder le cap sur le sens donné à ce chemin et pour le reste, lâcher-prise.
Pour quelle guérison ? Jamais celle d’un retour en arrière. Toujours, celle d’un possible, à créer et à inventer ! »
Travaillons ensemble
Au sein de votre structure (entreprise, association, institut de formation, Ehpad, …), vous souhaitez monter un projet autour des problématiques de santé, organiser une conférence, mettre en place une action de prévention, élaborer un programme de formation ? Professionnel(le) de santé, vous souhaitez une collaboration ?
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A propos 
Passionnée par le corps, le mouvement et les sciences humaines, je me suis tournée tout naturellement vers une licence STAPS et le sport de haut-niveau.
Il y a une trentaine d’années, après un problème de santé, je me suis formée en Fasciathérape MDB et en somato-psychopédagogie. Parallèlement à mon activité en cabinet en Haute-Savoie où j’ai travaillé avec beaucoup de sportifs de haut-niveau notamment d’envergure internationale, j’ai oeuvré comme formatrice de la méthode en Haute-Savoie puis à Lyon.
Plus récemment, j’ai validé un Diplôme Universitaire en Ingénierie et Conseil en Santé et Prévention Active, le D.U. ICSPA co-organisé par l’UFR STAPS de l’Université du Mans et l’Assurance Maladie de la Sarthe.
En 2020, fasciathérapeute au Centre de santé La Pierre Blanche en Suisse lors de séjours santé (voir) , j’ai pu mesurer l’intérêt et l’efficacité de la médecine intégrative ainsi que l’importance de l’éducation thérapeutique du patient.
Mes formations, mon expérience professionnelle de plus de 30 ans auprès d’un public varié (sportifs de haut-niveau, femmes enceintes, personnes porteuses de handicaps, nourrissons, enfants et adultes de tous âges) et mon travail de recherche me permettent de proposer à tout un chacun un accompagnement original et personnalisé.
Mes propres expériences dans le champ de la santé ont forgé ma conviction que l’écoute, l’empathie et le respect sont à la base de toute relation thérapeutique de confiance où le triptyque « corps-coeur-esprit » a toute sa place.
Je suis membre de l’association professionnelle FasciaFrance.fr. J’adhère à la charte éthique des praticiens en Fasciathérapie MDB, disponible sur demande.
Contact :
06 40 27 78 48
brugeron.claire@gmail.com
